il apparaît que le projet de résolution palestinien réclamant la fin de « l’occupation israélienne », qui sera soumis mercredi au Conseil de sécurité de l’ONU, est largement inspiré par les propositions du gouvernement français, a indiqué le ministre palestinien des Affaires étrangères. « Le texte qui sera présenté aujourd’hui est le projet français qui a été amendé avec les observations (…) palestiniennes. Il sera présenté aujourd’hui (mercredi) au Conseil de sécurité comme projet et soumis à un vote 24 heures après », a affirmé Riyad al-Malki à l’AFP.
Le ministre a toutefois évoqué la
possibilité que ce vote soit retardé « au cas où aucun des 15 membres du
Conseil de sécurité ne demande qu’il soit soumis à un vote ».
Le ministre n’a pas indiqué si le projet
de résolution inclura une clause sur une date butoir pour la fin de
« l’occupation israélienne », que les Palestiniens réclament d’ici deux
ans.
Riyad al-Malki a en revanche indiqué que
la France avait retiré la clause controversée portant sur une
reconnaissance par les Palestiniens d’Israël comme Etat juif. Allez
donc ! Qui inspire qui ?
Selon lui, le ministre français des
Affaires étrangères Laurent Fabius « a confirmé que cette question ne
serait pas incluse dans le projet de résolution ».
En cas de veto américain, les
« Palestiniens » ont l’intention de demander aussitôt leur adhésion à
une série d’organisations et de conventions internationales, parmi
lesquelles la Cour pénale internationale (CPI), a récemment déclaré le
négociateur en chef « palestinien » Saëb Erakat au secrétaire d’Etat
américain, selon un haut responsable proche des discussions entre
« Palestiniens » et John Kerry.
Les Etats-Unis sont fermement opposés à
ce que les « Palestiniens » rejoignent la CPI, une telle adhésion leur
permettant de poursuivre Israël pour crimes de guerre.
De manière plus générale, Washington
s’oppose aux initiatives unilatérales qu’on essaierait d’imposer à son
allié israélien sans passer par des discussions bilatérales.
Les Israéliens ont de leur côté prévenu qu’ils s’opposeraient de toute force au projet palestinien.
Avec la dérive criminelle du
gouvernement actuel de la France qui semble ne pas connaître de limites à
son action contre l’Etat juif visant à le délégitimer afin de le livrer
à ses ennemis mortels, nous sommes entrés dans une phase critique où
tout peut survenir.
Ajoutez à cela le fait que le Hamas est
désormais sorti de la liste des organisations terroriste établie par les
Etats Unis et l’Union européenne, parce que l’on ose encore désigner
par « la justice européenne » au prétexte fallacieux d’un vice de
procédure, tout en prétendant maintenir le gel de ses avoirs en Europe.
Mais le Qatar est encore là pour compenser.
Que le Hamas est le « filleul » du Qatar qui le finance et se fait son porte-parole dans les instances internationales.
Et sachant que le Qatar est le premier
émirat financier du terrorisme islamiste dans le monde et contre Israël
en particulier et qui, étant investi massivement dans les banlieues
françaises pour prendre en charge les « français de la diversité » a
transformé la France en son terrain de jeu grâce à ses milliards, en
faisant oublier à toute la classe politique de droite et de gauche de ce
pays ce qui lui restait de valeurs et d’honneur.
La « Françarabie » comme « l’Eurabia »
ne sont pas qu’un slogan, c’est devenu une réalité perversifiée au-delà
de ce que d’une part le Quai d’Orsay aurait osé rêver, et d’autre part
ce que l’Europe judéophobe n’avait osé réaffirmer depuis 70 années.
Ce qui confirme que les penchants
criminels européens semblent intacts et prêts à se remettre en action.
De l’histoire beaucoup n’ont rien appris.
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