Lahoucine Goumri, le président de l’Union des musulmans de
Lunel, une ville du sud de la France accusée d’être une filière
djihadiste, a refusé de condamner le départ vers la Syrie des
djihadistes français et s’est attaqué aux Juifs français servant dans l’armée israélienne.
«Pourquoi est-ce qu’une mosquée condamnerait, alors que les autres religions ne le font pas ?», a déclaré le responsable musulman dans une interview publiée samedi par «Le Midi-Libre», ajoutant «Pourquoi condamner ces jeunes qui sont partis au nom d’une injustice en Syrie et pas ces Français qui sont partis et ont tué des bébés palestiniens avec Tsahal l’été dernier ?».
«Je ne condamne pas du tout ces départs. Les gens sont libres de partir ou de rester : il y a des gens qui pensent que c’est un jihad, d’autres qui pensent que là-bas il y une injustice à combattre. La mosquée n’a pas à condamner ou ne pas condamner ces départs-là», a déclaré Lahoucine Goumri sur France Inter.
Des propos « violents » et « irresponsables » condamnés par la sous-préfecture de Lunel qui interviennent après le décès, le week end dernier, de deux jeunes djihadistes français, moins de deux mois après la mort de quatre autres djihadistes, originaires également de Lunel.
«Pourquoi est-ce qu’une mosquée condamnerait, alors que les autres religions ne le font pas ?», a déclaré le responsable musulman dans une interview publiée samedi par «Le Midi-Libre», ajoutant «Pourquoi condamner ces jeunes qui sont partis au nom d’une injustice en Syrie et pas ces Français qui sont partis et ont tué des bébés palestiniens avec Tsahal l’été dernier ?».
«Je ne condamne pas du tout ces départs. Les gens sont libres de partir ou de rester : il y a des gens qui pensent que c’est un jihad, d’autres qui pensent que là-bas il y une injustice à combattre. La mosquée n’a pas à condamner ou ne pas condamner ces départs-là», a déclaré Lahoucine Goumri sur France Inter.
Des propos « violents » et « irresponsables » condamnés par la sous-préfecture de Lunel qui interviennent après le décès, le week end dernier, de deux jeunes djihadistes français, moins de deux mois après la mort de quatre autres djihadistes, originaires également de Lunel.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire