L’islamologue Tariq Ramadan a défendu vendredi le droit des
Palestiniens de « résister » par les armes à « l’occupation
israélienne », et a accusé la France de « racisme institutionnel ».
« Aujourd’hui, quand vous êtes dans un pays et que vous êtes sous une oppression ou sous une colonisation, la résistance à la colonisation, à l’exploitation, elle est légitime, en l’occurrence si on prend le cas de la Palestine », a-t-il déclaré au Grand Journal de Canal+.
« Je ne suis pas d’accord avec les moyens qui consistent à tuer les innocents, mais à résister à une armée qui tue 2000 personnes innocentes comme l’été dernier, c’est quelque chose qu’il faut mettre en évidence », a-t-il ajouté, omettant volontairement d’indiquer que plus de la moitié des Palestiniens tués, appartenaient à des organisations terroristes, de l’aveu même du président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.
« Je suis assez en accord avec Mandela qui disait une chose très vraie : les victimes ne sont pas ceux qui choisissent les armes de leur résistance, ils s’adaptent aux armes de leur oppresseur », a poursuivi l’islamologue controversé.
Interrogé sur des propos controversés écrits en 2012 sur l’affaire Mérah, dans lesquels il impute les meurtres du terroriste franco-algérien, qualifié de « pauvre garçon », aux discriminations subies en France par les Musulmans, le prédicateur islamiste, très embarrassé, a accusé la France de « racisme institutionnel ».
« Aujourd’hui, quand vous êtes dans un pays et que vous êtes sous une oppression ou sous une colonisation, la résistance à la colonisation, à l’exploitation, elle est légitime, en l’occurrence si on prend le cas de la Palestine », a-t-il déclaré au Grand Journal de Canal+.
« Je ne suis pas d’accord avec les moyens qui consistent à tuer les innocents, mais à résister à une armée qui tue 2000 personnes innocentes comme l’été dernier, c’est quelque chose qu’il faut mettre en évidence », a-t-il ajouté, omettant volontairement d’indiquer que plus de la moitié des Palestiniens tués, appartenaient à des organisations terroristes, de l’aveu même du président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas.
« Je suis assez en accord avec Mandela qui disait une chose très vraie : les victimes ne sont pas ceux qui choisissent les armes de leur résistance, ils s’adaptent aux armes de leur oppresseur », a poursuivi l’islamologue controversé.
Interrogé sur des propos controversés écrits en 2012 sur l’affaire Mérah, dans lesquels il impute les meurtres du terroriste franco-algérien, qualifié de « pauvre garçon », aux discriminations subies en France par les Musulmans, le prédicateur islamiste, très embarrassé, a accusé la France de « racisme institutionnel ».
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